Well, hello there, kind folks. If you’re visiting this blog of mine, I presume that you have a certain interest in the cinema. As for me, even since my early childhood, I have had a deep love of everything related to movies and television. As far as I can remember, I have been more at ease in front of a screen than in the yard, outside, playing. It is a great way to travel, though other people’s stories, without having to foot any kind of steep bill. Over the years, I feel that movie-watching has even fuelled my own creativity.

All that being said, I welcome you in my Cinephile’s Nest. I hope you enjoy it here, feel free to come back at any time. Here you will find reviews of current movies and older ones. TV shows also. Some classics that have remained some of my favourites, some that have disappointed me. I will use a very basic star (*) system to grade them from 1 to 5 (5 being sliced bread level). Remember, these are just my tastes. I will try to explain in each review what I liked about these particular movies, without giving spoilers.

Il y aura aussi des critiques en français pour les films francophones, car j'aime également le cinéma dans ma langue maternelle. Avant d'apprendre l'anglais, plus jeune, je louais des tonnes de films traduits en français, surtout ceux de Bud Spencer et Terrence Hill. Ma mère a eu le choc de sa vie lorsqu'un jour, dans la boîte d'un de ces films, Deep Throat avait malencontreusement inséré. Une expérience formatrice pour le jeune cinéphile que je suis.

Bienvenue à tous, amusez-vous bien.

I welcome you all here, enjoy yourself.

Tuesday, November 28, 2017

Calvaire (2004)

Genre: Franco / Horror
Réalisation: Fabrice Du Welz
Distribution: Laurent Lucas, Jackie Berroyer, Philippe Nahon
Durée: 94 minutes



Marc Stevens est un chanteur qui voyage seul dans sa camionnette pour faire son spectacle, destiné plus particulièrement aux personnes âgées, dans les différents coins de la Belgique. Alors qu’il quitte une maison de retraite après son tour de chant pour se rendre à un autre événement pour Noël, le véhicule de Marc tombe en panne dans un coin isolé, tout près d’une auberge. L’aubergiste, Bartel, promet d’aider le jeune chanteur, mais, le prenant pour la réincarnation de la femme qui l’a quitté et lui a brisé le cœur, il le séquestre, le viole et l’enlaidit en lui coupant les cheveux pour s’assurer de le garder pour lui.

Quel film déstabilisant. Je sais que le réalisateur s’est inspiré de différentes œuvres du cinéma européen du même genre, mais j’y ai aussi vu des traces de Misery et de Deliverance. Calvaire met en scène des personnages effrayants de véracité. L’ascenseur ne monte pas jusqu’à l’étage du haut pour les habitants de ce village où Marc Stevens se retrouve prisonnier. Même si le jeu est parfois un peu gros, l’atmosphère du film et la tension qui monte peu à peu fait ressentir toute la pression que le personnage principal doit vivre. Certaines scènes sont particulièrement dures, de par les sons et de par l’image. Un film à voir, mais pas pour les âmes sensibles.

Note: ««««

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